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dimanche 30 septembre 2012

Daisy désirée


Hello !

Ca y est !

Elle est là, elle est douce, elle est belle : notre Daisy.

Déjà 1,8 kilos de malice et deux grands yeux, soulignés d'un trait d'eyeliner nature.

Une coquetterie qui nous fait craquer.

Comme son ventre blanc comme un paysage d'hiver.

On en est forcément fous, elle nous comble forcément la boule de poil.

Daisy désirée depuis quelques mois déjà.

Mais où était-elle ?

On savait déjà le nom, on avait pas trouvé la bestiole.

C'est grâce à Matête Danslesnuages et à sa maman, que Daisy a pointé le bout de son nez rose.

Toujours sale le nez ! On passe notre temps à lui nettoyer.

Forcément, il y a eu mes premiers flippes : est-elle en bonne santé ?

Peut-être que ce nez, c'est signe de problème ?

Après avoir fait se tordre de rire ma véto, avec mon hypocondrie par procuration, non, Daisy pète la forme.

Daisy est une goulue, dort au troisième étage de la penderie, sur mes shorts, sous la couette.

Daisy est grande, se débrouille toute seule pour jouer, dort toute seule la nuit sur le canap'.

Mais Daisy vient toujours réveiller ses maîtres avec son miaulement tout doux.

Daisy est bavarde, Daisy ronronne tout le temps.

Daisy aime bien qu'on la prenne dans les bras. Mais pas trop longtemps.

Daisy désirée.  

See U !

 


Sinon, rien à voir mais ces deux paires de chaussures - New Look pour les rouges et Zara pour les autres - sont à vendre ce soir sur le vide-dressing. Elles sont en 36 et seront respectivement à 15 et 25 euros !



This Outfit : 
Tout/everything : vintage 
Veste/jacket : Zara 
Col/collar : Zara 
Chaussures/shoes : Valentino

jeudi 20 septembre 2012

In da woods


Il y a des moments, tu te demandes à quoi ont servi quarante années de films d'horreur...

Parce que oui, il y aura toujours une bande de gamins prêts à s'enfermer dans une cabane, au milieu de la forêt. La nuit.

Des gamins qui n'ont donc pas vu Vendredi 13. Ou Evil Dead.

Ni leur cortège de petits frères, plus ou moins honteux.

Comme les héros de La cabane dans les bois n'ont pas leur master cinéma de genre, pas même une première année de licence, ils font que des conneries.

Forcément.

Forcément, nous on sait que quand on se trouve dans ce genre d'endroit, on ne descend pas dans la cave, après que la porte de la dite cave se soit ouverte avec grand fracas, toute seule.

Forcément, nous on sait que quand la cave a tout de la chambrette d'un tueur en série bien secoué, on n'ouvre pas le premier bouquin trouvé là et on ne lit pas la première formule en latin qui y traîne.

Bondiou les gens !

Sauf que la dite Cabane... est le grand délire d'un mec qui l'a lui, son master cinéma de genre.

Qui donc, lui rend hommage à tout bout de champs.

Bien sûr que cette cabane est celle d'Evil Dead,

Bien sûr que ces cinq loulous sont l'interchangeable bande de tout un tas de pelloches : la fille un peu pute, la sainte nitouche, le gros nerd fumeur de joints, le beau gosse et le tendre qui a un cerveau.

Bien sûr que ça va être un beau jeu de massacre.

Sauf qu'il y a un petit twist, un petit piment, un petit "mais il se passe quoi là ?".

Ca passe. Ou pas.

C'est selon vous.

On se braque. Ou on accepte ce grand n'importe quoi.

En attendant, ce drôle de petit film peu se targuer d'avoir un cameo de star inattendu, pas piqué de hannetons.

Et surtout une scène funky, déjà d'anthologie, fantasme ultime de tous les fans du genre...saignant.

Bon film (ou pas) !  

See U !

 

This Outfit : 
Tout/everything : vintage 
Chaussettes/socks : American Apparel 
Jupe/skirt : Uniqlo (merci !)
Chaussures/shoes : Mellow Yellow 

mercredi 12 septembre 2012

Ces pois sont oranges



Hello !

En cette rentrée, j'avais pris plein de bonnes résolutions, quant à quelques activités pour l'année à venir.

Activités qui sont tombées à l'eau.

Mais ce n'est PAS DE MA FAUTE !

Hein, pas de ma faute si sur toute la ville de Paris, l'intégralité de la cité, il n'y a que 16 places en broderie aux cours municipaux de la mairie.

Voilà, pas de ma faute.

Du coup, va falloir que je me débrouille seule, à base de bouquins, consultations de sites, pour broder un foutu perroquet sur la veste en jean que j'ai trouvé il y a deux semaines.

Cependant, en cette rentrée, une résolution a tenu la route.

On va être parents.

D'un chaton.

Si tout va bien, cette petite peluche sera à la maison dans un peu plus d'une semaine.

Ce qui veut dire que sous peu, mon compte Twitter, Facebook, etc, sera envahi de photos de la nouvelle prunelle de mes yeux.

D'avance, excusez-moi.

 Enfin, en cette rentrée, j'ai bien sur encore décidé d'être plus constante dans mes posts.

On y croit !  

See U !

 

This Outfit : 
Tout/everything : vintage 
Sac/bag : Urban Outfitters 
 

dimanche 2 septembre 2012

The last high



Courtney Taylor-Taylor...

La première fois que j'ai entendu les Dandy Warhols, je sais même plus.

Ca devait être Bohemian like you, forcément.
Tout le monde connait cet hymne bobo-pop et ses hou hou hou.

Par la suite, j'ai vu 9 Songs.
Oui, j'ai vu 9 Songs, rooo ça va !

Entre deux scènes de galipettes non simulées impliquant les deux comédiens, dont on a plus jamais entendu parlées (j'appelle ça le syndrome Jane March : "si tu es acteur, abstiens-toi de trop donner dans le cul." Forcément, Jane March, L'Amant + Color of Night = carrière KO), un sublime live des dits Dandy.

The Last High, donc.

Et la voix plus ronronnée que chantée de Courtney Taylor-Taylor, le chanteur forcément sulfureux d'un groupe forcément glam.

Tu m'étonnes, avec un nom pareil.

Et une claviériste qui se pointait parfois sur scène simplement bardée de deux bouts de sparadrap sur les seins.

De Courtney, j'aime le nom mixte. Et le Taylor-Taylor, au départ né simplement Taylor.

Cet effet Lolita, ça me parle.

Donc, quand le groupe s'est pointé sur la scène de Rock en Seine, j'étais forcément plus sur terre.

Alors oui, la beauté diabolique de Taylor-Taylor a pris un coup. Ca s'appelle l'âge et avec lui, elle est devenue étrange.

Mais les yeux verts mi-clos et la moue éternelle restent inaltérables.

Et l'animal ronronne toujours.

Donc bon.

Pour parfaire ma connaissance de ce drôle de félin, j'ai filé sur le site du groupe.

J'y ai appris qu'il produisait son propre vin. Ca m'a fait sourire.

J'y ai découvert ses critiques de films lapidaires. Ca m'a fait rire.

J'ai constater que finalement, il était fort peu suivi sur Twitter. Ca m'a étonné, mais rassuré.

Cet homme-là est à l'image de son groupe : à multifacettes et toujours surprenant.

See U !

PS : je tiens à préciser qu'il suit un seul et unique compte Twitter, celui de MC Hammer, ça s'invente pas.




This Outfit : 
 Chemise/shirt : UO 
Le reste/everything else : vintage