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jeudi 28 août 2014

Zou !



Hello !

Vous le connaissez le post le plus rapide de l'Ouest ?

Ben c'est celui-là.

Faut bien maintenir le rythme et j'aime beaucoup cette séance improvisée aux alentours de Saint Mich', avant que les Dieux nous fassent abondamment pipi dessus...

Pas grand chose à dire et une maman à aller récupérer pour une journée à Paris !

See U !


 


This Outfit :
Trench : H&M 
Top : American Apparel
Denim : vintage (modèle Levi's 881)
Jellies : vintage 

lundi 25 août 2014

Thank you so F***ing much !



Hello ! 

Ca y est, c'est fini, à l'année prochaine !

Quelle édition riche en tout que ce Rock en Seine 2014.

Ca commmence à 15h30, ce vendredi, avec le petit nouveau Jessica 93.
Une allure à la Kurt Cobain, pas un sourire - pas nécessaire - des nappes de musique rajoutée à la pédale.
Tout seul sur scène, Geoff de son petit nom, sort un son saturé, trippant, une bande originale rêvée pour un Basic Instinct moderne.
Un gros coup de coeur, le premier du week-end.

Quelques petites choses anecdotiques après (dont Tiger Bell, juste mignon), on réécoute (après la session Beauregard de juillet), la pop culte et sucrée de Blondie.
Moquée sur les réseaux sociaux, parce qu'âgée de 70 ans (rappelons que seul le jeune a les faveurs du public ces dernières années...), Debbie Harry a certes une voix vieillie, mais assure toujours sur les tubes Atomic, un Rapture qui sent bon le Studio 54 et même le récent A rose by any name.

On se rue Grande Scène pour voir, pour la énième fois, la grande messe hystérique qu'est The Hives. L'énergie et le charisme du leader aux yeux fous fait l'équilibre avec le son, désastreux.

Passage à Die Antwoord, parce que curieuse. Je tiens trois morceaux : volontairement malsain, les "fuck me" de Yolandi, piaillés avec une voix de petite fille m'hérissent le poil.
Je fuis.
Mais la grande majorité du public de Rock en Seine a visiblement adoré.

Cette première journée se finit avec ma grosse attente du festival, Trentemoller.
Cette sombre clarté qui s'écoule de la Cascade et les Arctic Monkeys qui sévissent sur la Grande Scène, me permettent de rester une heure, accrochée à la barrière, au premier rang.
L'extase totale d'un sublime Shades of marble, dès les commencements du set, rejoint le coup de maître d'un Moan marié au Lullaby de The Cure, le tout célébré par la délicieuse Marie Fisker.

Samedi, j'écoute Junip d'une oreille, c'est charmant, mais je ne suis pas cliente de l'esprit folk.  

St.Paul and the Broken Bones est une immense révélation, une présence et une voix impressionnantes de cet ex-prêcheur de l'Alabama (si si).
Le set se termine sur une reprise de Try a little tenderness époustouflante.  

The Ghost of a Saber Tooth Tiger, mené par le culte malgré lui Sean Lennon, est un ravissement pour les oreilles, la voix curieuse et presque féminine du fils de... se prêtant à l'esprit psyché 70 de l'ensemble.
Mais on entend trop peu la très belle Charlotte Kemp.

A 21h, on se dit qu'on nous y prendra plus, qu'on sait bien que Portishead, c'est tellement beau, que c'est à peine humain.
Ca fait 20 ans qu'on le sait (le groupe joue le jour de son propre anniversaire).
Mais rien y fait.
Un sens de la vidéo qui tient du génie, un son imparable, des musiciens virtuoses et une Beth Gibbons accrochée à son micro comme une noyée en sursis.
Rien n'a bougé depuis le légendaire Roseland, de la voix à l'émotion.
Miraculeux.  

The Horrors, qui finit notre samedi, est une immense bonne surprise pour l'amoureuse des 80's que je suis.
Je reconnais un esprit Duran Duran nappé de belles guitares, le chanteur a une voix sublime et frappante.
Parfait !

Dimanche, déjà sur les rotules, je découvre Airbourne, son énergie, son mur d'amplis et son leader rafraichissant, tout est premier degré et génial.  

Warpaint est une énorme déception. Certes je reste sur les propos sexistes prononcés par la leader du groupe, il y a quelques mois, mais la musique est aussi prétentieuse que les quatre acolytes et leurs couinements n'ont aucun intérêt à mes oreilles.  

Janelle Monae est une mini bombe à fragmentation, énorme et toute petite à la fois, un vrai sens du spectacle et une voix d'une justesse et d'une puissance imparables.
Mais on le savait déjà.

Il est 19h45 et je n'attends qu'elle, la créature Lana Del Rey.
Certes, elle est aidée par des samples de voix, certes.
Mais la grâce, la fascination et l'immense générosité du personnage me fascinent.
La voix est juste, les clopes s'enchaînent aux doigts sertis de faux ongles de celle qui s'est complétement créée.
Et Summertime Sadness m'achève.
Le show (des vidéos d'un Los Angeles fantasme accompagnent les douces litanies à la Badalamenti) se termine sur un beau National Anthem, étiré par ses musiciens, tandis que Lizzy, descendue dans le public, distribue baisers et selfies partagés, pendant bien un quart d'heure.

La Roux a une énergie étincelante, fluorescente et Kavinsky prend tout son sens dans la nuit noire.

Retour en plein après-midi sur l'honnêteté punk de Brody Dalle, madame Josh Homme (lequel, sur le côté de la scène, est tout sourire est fierté).
Ca rugit, c'est dansant, elle est extraordinaire, avant de résumer cette édition à l'issue d'un set brillant : "Thank you so fucking much !"


See U !






This Outfit:
Tout/everything : vintage
Top : H&M Trend (old)
Chaussures/shoes : Doc Martens

jeudi 21 août 2014

Oh England my Lionheart




Hello !

Ca se rapproche, ça se rapproche !
Dans deux semaines exactement, je serai à quelques heures de - ENFIN - voir Kate Bush.
Il est impossible de se représenter ce que cela signifie pour moi, d'émotion, d'attente, de joie.

Peu importe que la voix ait vieilli, qu'elle ait changé, peu m'importe, je déborde littéralement d'excitation.

Je n'ai jamais aimé un artiste plus qu'elle, et ce depuis toute petite.

Mais alors vraiment haute comme trois pommes à genoux.
J'en suis à un point que j'ai peur de m'effondrer pendant le concert, de tomber dans un cageot de pommes, de chialer comme jamais.

J'essaie donc de visualiser les différentes possibilités de me ridiculiser devant un public, même pas de compatriotes...

J'essaie aussi de me persuader qu'il va falloir résister à la tentation de voir les premières images, les premières critiques, quand les premières dates auront eu lieu.

Je suis un paquet d'émotions diverses et foutraques.

En attendant, je vous laisse, une nouvelle fois toute en gris-noir.

See U !



 



This Outfit : 
Jupe/skirt : vintage
Collier et top/necklace and top : H&M (old)
Chaussures/shoes : COS (old)
Sac à dos/backpack : American Apparel

mercredi 13 août 2014

Béton gris




Hello ! 

Raaaaaaaahhhhh, j'ai repris le boulot !

On garde la pêche hein.
Et un certain rythme dans les publications ici.

Ces deux semaines de vacances ont finalement été pleines de bonnes choses accomplies.
Je suis assez contente de leur utilisation.

Sinon, ici sur vos écrans, un vieux futal trouvé en friperie il y a une plombe, porté pour la première fois la semaine dernière.

Il est 3000 fois trop grand, mais j'aime bien l'effet.

Ce fut court, pas forcément bon, mais je vous laisse tout de même !

See U !


 


This Outfit :
Brassière/top : American Apparel
Pantalon/trousers : vintage 
Sandales/shoes : Other Stories

jeudi 7 août 2014

Court sur long




Hello ! 

Hop Hop Hop, on garde le rythme !

Ici, les vacances touchent presque à leur fin, mais finalement, elles ont été productives à leur manière.

Le point culminant étant une journée et un passeport annuel (ouch, le porte-monnaie !) chez Disneyland.
J'ai beau m'insurger contre les techniques capitalistes de Mickey et ses potes, je suis tout de même sous sa coupe, béate devant les décors en carton-pâte et le merchandising coloré.

Mon truc à moi étant les pin's et les peluches.
Ce qui ne m'empêche pas de tester chaque pistolet pirate, revolver laser ou fausses Winchester.

Ou de coiffer chaque oreilles de Minnie, toque Ratatouille ou cornes de Maléfique (et en avant les selfies hilares).

Avant de beugler un sonore "La vache, ils se touchent sur les prix !" et de reposer la toque de Ratatouille, donc.

Comme chaque année, je me suis dégonflée sur les manèges à sensation.
Oui lecteur, je suis une énorme froussarde, qui n'aime pas sentir ses organes lui remonter dans le gosier.

La queue de la Tour de la Terreur entamée, je me suis finalement faufilée vers la sortie de service avec un gentil employé, avant d'arriver, penaude, en pleine boutique estampillée Hollywood Tower, porte-clés, sonnettes d'hôtel ou bougeoirs made in China se foutant tous de ma gueule.

La prochaine fois, je reviens chargée aux décontractants musculaire hein !

Bref, cette journée a été parfaite, avec son lot de dépenses inutiles et de bouffe dégueulasse dans l'ensemble.

PARFAITE !

See U ! 






This Outfit : 
Top : H&M Trend 
Jupe/skirt : vintage 
Chaussures/shoes : Other Stories (old)

samedi 2 août 2014

Une brise dans la tête ...




Hello ! 

En vacances depuis une semaine, j'ai envie de dire que le temps s'écoule très doucement et sereinement.

Paris est toujours envahie de ses Parisiens, mais ça nous empêche pas d'enfin découvrir tous les petits restos qu'on voulait tester depuis un moment (filez au japonais Issé, cher mais à tomber par terre).

Et de dévorer des glaces yaourt-melon, chez Pozzetto ou rue Montorgueil.

On a aussi visiter l'expo mode des années 50 et même mon homme a été emballé.

J'y ai bavé comme une malade devant la Palmyre de Christian Dior et me suis mis en tête de dégoter un ensemble jupe-haut vintage de plage, rien à foutre si ça doit me coûter un bras.


Si vous avez des plans ...
 
J'y ai aussi découvert dans la foulée que Charlotte Olympia n'avait franchement rien inventé (mais en revanche, bien gonflé les tarifs !). 

Voilà, ma vie n'est que bouffe et flânerie.

J'me plains pas !

See U !


 

This Outfit : 
Chemisette/shirt : American Apparel
Jupe/skirt : American Apparel
Sandales/shoes : Other Stories (old)